Le Low-code/no-code (LCNC) n’est pas nouveau
L’approche low-code/no-code (LCNC) n’est pas nouvelle. Des éditeurs de renom misent depuis des années sur l’apport de plateformes de développement délestées d’une partie de la complexité inhérente à cette pratique. Les outils LCNC s’adressaient jusqu’alors aux architectes applicatifs. En somme, il s’agissait avant tout de simplifier le travail des développeurs par le biais d’interfaces et des langages de programmation déclaratifs.
Mais se sont greffés aux plateformes de développement LCNC des dispositifs s’appuyant sur l’IA, la RPA et le scripting issus directement des systèmes BPM. Elles ont été adoptées également par des collaborateurs désireux de construire des outils métiers. L’année 2020 marque en quelque sorte la généralisation de cette tendance du low-code/no-code, popularisée par Forrester et Gartner.
Les acteurs spécialisés comme Appian, Mendix, Bonitasoft, Convertigo, PegaSystems, OutSystems, Salesforce ou encore Service ne sont plus les seuls à évoquer ce phénomène.
Le développeur ne disparaît pas
Le développeur, le vrai ne perdra pas sa place en 2021, contrairement à ce que peuvent laisser entendre certains arguments commerciaux. Il devra néanmoins assister une transformation des pratiques de développement et davantage collaborer avec des néophytes. La progression de la tendance low-code/no-code ne s’impose pas partout à la même vitesse.
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