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Silicon.fr : Pourquoi le low-code / no-code s'impose

Silicon.fr : Pourquoi le low-code / no-code s'impose
Bonitasoft
28 June 2021

La crise sanitaire a confirmé la nécessité de solutions low-code/no-code pour la dématérialisation.

La crise sanitaire comme accélérateur

L' accélération de la transformation numérique et les contraintes de la crise sanitaire boostent les solutions de low-code et de no-code. Elles font gagner en productivité, en permettant aux experts métiers de créer leurs propres applications.

Comme dans bien d’autres domaines, la crise sanitaire aura servi de détonateur au phénomène du low-code/no-code. 

Tendance lourde avant la pandémie, le low-code/no-code est devenu aujourd'hui incontournable. Créer des applications avec le moins de code possible (low-code), voire sans une ligne de code (no-code), permet ainsi aux entreprises d’accélérer leur transformation numérique et de gagner en productivité en automatisant leurs processus.

C'est aussi une réponse aux situations d'urgence. “En sortie de premier confinement, il a fallu organiser le retour sursite des collaborateurs, se souvient Olivier Eyraud, business solution manager chez Hardis Group. Quelques jours ont suffi, avec le low-code, pour concevoir une application leur permettant de déclarer leur présence ou signaler s'ils étaient cas contacts.

Un développement classique aurait été trop long et les organisations seraient restées au stade du mail, du tableur Excel, voire du parapheur."

Un meilleur Time-to-Market et surtout moins de Shadow IT

L'approche low-code/no-code réduit non seulement le time to market, mais aussi le shadow IT. Ce qui permet à la DSI de se concentrer sur des projets à plus haute valeur ajoutée. 

Aujourd'hui, les cabinets prédisent de concert un avenir radieux à ces plateformes. Selon Gartner, le marché du seul low-code devrait augmenter, cette année, de 22,6 % pour atteindre 13,8 milliards de dollars. Une croissance qui excite la convoitise d'une multitude d’acteurs venus d'horizon très divers. Les éditeurs historiques de la gestion des processus métiers (BPM) et du case management comme Appian, Pega ou Bonitasoft se concentrent sur l’orchestration d’activités transverses comme le suivi du dossier RH collaborateur.

Les plateformes low-code dites AD&D (Application Development and Delivery) sont quant à elles dédiées aux professionnels de l’informatique qui souhaitent gagner en productivité.

L'article complet est disponible dans l'édition imprimée de juin de Silicon Magazine.

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