Le RPA consiste à automatiser les tâches à faible valeur ajoutée encore très souvent réalisées par les humains. Il est souvent perçu comme complémentaire aux plateformes de type aPaaS en low code, lesquelles servent à créer des applications métiers rapidement et en utilisant peu de code. Le RPA est également vu comme complémentaire au BPM par les éditeurs historiques comme Appian, Bonitasoft ou encore Pega qui agissent sur un portfolio plus large autour de l’automatisation des processus complexes. Ainsi, là où les plateformes low code des trois pure-players s’adressent à l’IT, les plateformes RPA sont plus souvent exploitées par les métiers ou des développeurs citoyens. Ils n’ont pas forcément des compétences IT très poussées, mais plutôt une certaine appétence pour les interfaces graphiques et la configuration avancée - du no code en quelque sorte.
Un ROI immédiat
Complémentaires ou intégrées, ces plateformes intéressent de plus en plus les entreprises françaises. À en croire nos interlocuteurs, la demande s’est même accélérée durant la période de crise sanitaire poussée par l’essor du développement à distance...
Une organisation agile pour profiter pleinement de ces plateformes
L’adoption réussie de ces plateformes passe par l’implication des équipes en interne; d’où l’importance d’avoir un référent ou un sponsor leader du projet. Cette agilité se retrouve aussi du côté des plateformes RPA. Celles-ci sont même souvent associées à des centres de compétences ou d’experts en interne pour faciliter la mise en production des robots...
Lisez l'intégralité de l'article de Benoit Huet du Monde Informatique !